Retour aux Contributions

 

Suzie et Gérald - Texte et photos

Leur écrire :

Les photos :

sz1.jpg (56376 octets)  sz2.jpg (34063 octets)  sz3.jpg (76911 octets)  sz4.jpg (36768 octets)  sz5.jpg (57231 octets)

sz6.jpg (18169 octets)  sz7.jpg (15062 octets)  sz8.JPG (60969 octets)

Un petit texte coquin :

En voiture

 

Pour changer un peu des photos coquines d’intérieure, j’ai convaincu Suzie d’une petite sortie

Je lui ai demandé de mettre soit des bas avec porte jarretelles, soit des Dim-up et par-dessus, un tailleur et sa petite jupe courte.

  Nous nous fixons comme objectif une aire d’autoroute calme, ou un coin de forêt tranquille où nous pensons ne pas être dérangés.

  Déjà sur la route l’excitation de cette séance nous titille, je glisse une main entre les cuisses de Suzie, le contact direct de la peau au-dessus des bas me fait déjà bander, elle relève un peu sa jupe sous ses fesses pour que je puisse découvrir à mon aise son slip. J’immisce un doigt entre la chair et la dentelle, pour caresser son pubis, je suis presque à l’entrée de sa fente.

  Je roule très prudemment, car je sens qu’il faut redoubler d’attention pour ne pas risquer l’accident.

Suzie me regarde et me lance une œillade et commence à ouvrir la fermeture éclair de ma braguette, ce n’est pas très facile avec la ceinture de sécurité, cependant elle y parvient et même passant la main par dessus l’élastique de mon slip, atteint ma bite qu’elle sort. L’effet est immédiat d’une petite bandaison, voilà le grand jeu, l’érection est énorme. Elle pose sa tête sur mon épaule et branle alors ma hampe.

  Quand nous avons trouvé, l’aire d’autoroute adéquat, nous nous garons au fond du parking, à l’écart des quelques voitures arrêtés dans cette froide journée.

  Je sors l’appareil photo pour commencer la séance, je commence par la prendre telle qu’elle était lorsque nous roulions, c’est à dire jupe remontée laissant apercevoir son slip. Je lui tends l’appareil pour qu’elle me prenne également en photo, encore sanglé de la ceinture de sécurité, la queue sortant de la braguette… voilà déjà deux photos sans risque.

Toujours dans l’auto, elle remonte sa jupe devant l’objectif, -clic- pour que nous puissions découvrir ses cuisses, elle entrouvre son slip, pour nous faire découvrir sa chatte, -clic-, son doigt malicieux pointant vers la fente, -clic- nous guide et nous suggère  les scènes futures.

Ensuite, après avoir enlevé son slip en le glissant doucement, -clic- allongée sur le siège, elle nous découvre sa chatte grande ouverte, -clic- et par une passe de gymnastique, pour se trouver face au levier de vitesse, s’y frotte de manière suggestive. -clic-

Se tournant, elle expose alors ses fesses, -clic- puis son petit trou grand ouvert par ses mains, -clic-

Nous n’avons pas remarqué, emportés par notre fièvre photographique, qu’une Mercedes s’était garée par trop loin de nous, et qu’un homme en était sorti, et s’était approché de nous. Il avait certainement compris la raison de notre isolement, ou peut-être était-il spécialement à la recherche d’un tel sujet.

Je jette un œil inquiet vers lui, élégant, la cinquantaine, manteau bleu, mais Suzie me prenant par les épaules me détourne de son regard, je ne sais pas si elle a remarqué cet homme, mais elle fait comme si de rien n’était. Lui s’approche malicieusement, entrouvre son manteau, ouvre sa braguette pour commencer à se branler à la vue du spectacle, il est encore à une dizaine de mètre de nous.

Alors Suzie ouvre la portière, -clic- je ne sais pas quel va être sa réaction, car c’est réellement la première fois que nous nous trouvons dans cette situation à l’extérieur.

Il faut croire que l’ambiance surchauffée de nos ébats la désinhibe totalement, car à ma surprise, portière ouverte, elle s’offre au regard du voyeur, -clic- elle montre son slip, le porte à son nez pour le sentir en regardant l’homme, -clic-  puis se frotte le sexe avec, -clic-afin de l’humecter de sa mouille, elle va même jusqu’à l’introduire un peu dans sa chatte, un peu, même beaucoup ; puisqu’il y disparaît presque. -clic-

Il ressort visiblement trempé, le voyeur qui s’était approché se branle en extase, la jute éclabousse la vitre arrière de notre voiture.

D’un signe de la tête, je lui suggère de s’en aller, ce qu’il fait aussitôt, ce qu’il a vu l’a certainement suffisamment comblé, il remonte dans sa voiture, mais reste encore stationné car il sait sûrement qu’il va y avoir une suite.

Suzie continue à s’exhiber, sort de la voiture et prend quelques poses subjectives devant le capot, -clic- ouvre sa veste et son gilet pour monter sa poitrine, -clic- elle ôte son soutien gorge laissant ses seins volumineux jaillirent, -clic- accroupie, elle expose ses fesses –clic- et prise visiblement d’une envie subite, va s’accroupir à l’abri de la portière pour uriner, -clic-nous voyons tout d’abord quelques gouttes surgir de son con, puis un jet puissant qui forme rapidement une mare sur le macadam. -clic-Je bande comme un cerf, car cette photo je la désirai depuis longtemps.

Après s’être essuyer avec un mouchoir que je lui aie tendu, elle rabaisse sa jupe et remonte dans la voiture où je la rejoins. Elle me tend le mouchoir humide qu’elle porte à mon nez, -clic- le parfum très discret laissé par l’essuyage de sa chatte, me retourne les sens, alors elle me dit « ça t’as plu, c’est ce que tu voulais ? » Et  m’embrasse.

Elle me reprend le mouchoir humide des mains, sort ma pine congestionnée, car trop à l’étroit dans mon slip avec toutes ces émotions.

Suzie entoure ma queue du  mouchoir et me branle jusqu’à me finir. Le mouchoir est maintenant trempé et gluant de nos jus respectifs, elle le met dans sac en souriant l’air satisfait.

La Mercedes a disparue, nous sommes seules maintenant sur le parking, j’embrasse et je pelote Suzie. Je n’ai qu’un seul mot à lui dire pour cette séance : merci.