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Suzie et Gérald - Texte et photos
Leur écrire : 
Les photos :


Un petit texte coquin :
En voiture
Pour changer un peu des photos coquines d’intérieure,
j’ai convaincu Suzie d’une petite sortie
Je lui ai demandé de mettre soit des bas avec porte
jarretelles, soit des Dim-up et par-dessus, un tailleur et sa petite jupe
courte.
Nous nous fixons comme objectif une aire d’autoroute calme, ou un coin de
forêt tranquille où nous pensons ne pas être dérangés.
Déjà sur la route l’excitation de cette séance nous titille, je glisse une
main entre les cuisses de Suzie, le contact direct de la peau au-dessus des bas
me fait déjà bander, elle relève un peu sa jupe sous ses fesses pour que je
puisse découvrir à mon aise son slip. J’immisce un doigt entre la chair et
la dentelle, pour caresser son pubis, je suis presque à l’entrée de sa
fente.
Je roule très prudemment, car je sens qu’il faut redoubler d’attention pour
ne pas risquer l’accident.
Suzie me regarde et me lance une œillade et commence à
ouvrir la fermeture éclair de ma braguette, ce n’est pas très facile avec la
ceinture de sécurité, cependant elle y parvient et même passant la main par
dessus l’élastique de mon slip, atteint ma bite qu’elle sort. L’effet est
immédiat d’une petite bandaison, voilà le grand jeu, l’érection est énorme.
Elle pose sa tête sur mon épaule et branle alors ma hampe.
Quand nous avons trouvé, l’aire d’autoroute adéquat, nous nous garons au
fond du parking, à l’écart des quelques voitures arrêtés dans cette froide
journée.
Je sors l’appareil photo pour commencer la séance, je commence par la prendre
telle qu’elle était lorsque nous roulions, c’est à dire jupe remontée
laissant apercevoir son slip. Je lui tends l’appareil pour qu’elle me prenne
également en photo, encore sanglé de la ceinture de sécurité, la queue
sortant de la braguette… voilà déjà deux photos sans risque.
Toujours dans l’auto, elle remonte sa jupe devant l’objectif, -clic- pour
que nous puissions découvrir ses cuisses, elle entrouvre son slip, pour nous
faire découvrir sa chatte, -clic-, son doigt malicieux pointant vers la fente,
-clic- nous guide et nous suggère les
scènes futures.
Ensuite, après avoir enlevé son slip en le glissant doucement, -clic- allongée
sur le siège, elle nous découvre sa chatte grande ouverte, -clic- et par une
passe de gymnastique, pour se trouver face au levier de vitesse, s’y frotte de
manière suggestive. -clic-
Se tournant, elle expose alors ses fesses, -clic- puis son petit trou grand
ouvert par ses mains, -clic-
Nous n’avons pas remarqué, emportés par notre fièvre
photographique, qu’une Mercedes s’était garée par trop loin de nous, et
qu’un homme en était sorti, et s’était approché de nous. Il avait
certainement compris la raison de notre isolement, ou peut-être était-il spécialement
à la recherche d’un tel sujet.
Je jette un œil inquiet vers lui, élégant, la
cinquantaine, manteau bleu, mais Suzie me prenant par les épaules me détourne
de son regard, je ne sais pas si elle a remarqué cet homme, mais elle fait
comme si de rien n’était. Lui s’approche malicieusement, entrouvre son
manteau, ouvre sa braguette pour commencer à se branler à la vue du spectacle,
il est encore à une dizaine de mètre de nous.
Alors Suzie ouvre la portière, -clic- je ne sais pas quel va être sa réaction,
car c’est réellement la première fois que nous nous trouvons dans cette
situation à l’extérieur.
Il faut croire que l’ambiance surchauffée de nos ébats
la désinhibe totalement, car à ma surprise, portière ouverte, elle s’offre
au regard du voyeur, -clic- elle montre son slip, le porte à son nez pour le
sentir en regardant l’homme, -clic- puis
se frotte le sexe avec, -clic-afin de l’humecter de sa mouille, elle va même
jusqu’à l’introduire un peu dans sa chatte, un peu, même beaucoup ;
puisqu’il y disparaît presque. -clic-
Il ressort visiblement trempé, le voyeur qui s’était approché se branle en
extase, la jute éclabousse la vitre arrière de notre voiture.
D’un signe de la tête, je lui suggère de s’en
aller, ce qu’il fait aussitôt, ce qu’il a vu l’a certainement
suffisamment comblé, il remonte dans sa voiture, mais reste encore stationné
car il sait sûrement qu’il va y avoir une suite.
Suzie continue à s’exhiber, sort de la voiture et prend quelques poses
subjectives devant le capot, -clic- ouvre sa veste et son gilet pour monter sa
poitrine, -clic- elle ôte son soutien gorge laissant ses seins volumineux
jaillirent, -clic- accroupie, elle expose ses fesses –clic- et prise
visiblement d’une envie subite, va s’accroupir à l’abri de la portière
pour uriner, -clic-nous voyons tout d’abord quelques gouttes surgir de son
con, puis un jet puissant qui forme rapidement une mare sur le macadam. -clic-Je
bande comme un cerf, car cette photo je la désirai depuis longtemps.
Après s’être essuyer avec un mouchoir que je lui aie tendu, elle rabaisse sa
jupe et remonte dans la voiture où je la rejoins. Elle me tend le mouchoir
humide qu’elle porte à mon nez, -clic- le parfum très discret laissé par
l’essuyage de sa chatte, me retourne les sens, alors elle me dit « ça
t’as plu, c’est ce que tu voulais ? » Et
m’embrasse.
Elle me reprend le mouchoir humide des mains, sort ma
pine congestionnée, car trop à l’étroit dans mon slip avec toutes ces émotions.
Suzie entoure ma queue du
mouchoir et me branle jusqu’à me finir. Le mouchoir est maintenant
trempé et gluant de nos jus respectifs, elle le met dans sac en souriant
l’air satisfait.
La Mercedes a disparue, nous sommes seules maintenant sur le parking,
j’embrasse et je pelote Suzie.
Je n’ai qu’un seul mot à lui dire pour cette séance : merci.